Ce n'est pas ça. La bonne réponse est C. De réaliser un examen corporel minutieux au retour de promenade et le lendemain.
La prévention primaire repose essentiellement sur des mesures simples de protection mécanique (grade A) telles que :
‒ porter des vêtements clairs afin de mieux repérer les tiques, couvrants (protection de la tête et du cou, en particulier chez les enfants) et des chaussures fermées ;
‒ glisser les bas de pantalon dans les chaussettes, voire utiliser des guêtres ;
‒ se munir d’une paire de tire-tiques de préférence, ou à défaut, d’une pince à épiler.
Il est recommandé de réaliser un examen corporel minutieux, tout particulièrement les localisations habituelles, c’est-à-dire les zones où la peau est la plus fine, chaude et humide, telles que les aisselles, les plis du genou, les zones génitales, le nombril, les conduits auditifs et le cuir chevelu. Il est recommandé que l’examen soit réalisé le plus rapidement possible.
‒ Cet examen doit être attentif, car le stade du vecteur le plus souvent en cause pour la transmission à l’être humain est la nymphe qui ne mesure que 1 à 3 mm (images 1 et 2).
‒ Il est recommandé de refaire cet examen le lendemain car la tique, gorgée de sang, sera plus visible.

‒ Un retrait incomplet de la tique peut conduire à la formation d’une papule persistante (granulome à corps étranger) sans conséquence ultérieure sur le risque d’apparition de symptômes ou de maladie.
‒ La sérologie de Lyme après une piqûre de tique n’est pas recommandée, quelle que soit la population concernée.
‒ L’antibioprophylaxie post-piqûre de tique n’est pas recommandée, quelle que soit la population concernée.
Bravo !
La prévention primaire repose essentiellement sur des mesures simples de protection mécanique (grade A) telles que :
‒ porter des vêtements clairs afin de mieux repérer les tiques, couvrants (protection de la tête et du cou, en particulier chez les enfants) et des chaussures fermées ;
‒ glisser les bas de pantalon dans les chaussettes, voire utiliser des guêtres ;
‒ se munir d’une paire de tire-tiques de préférence, ou à défaut, d’une pince à épiler.
Il est recommandé de réaliser un examen corporel minutieux, tout particulièrement les localisations habituelles, c’est-à-dire les zones où la peau est la plus fine, chaude et humide, telles que les aisselles, les plis du genou, les zones génitales, le nombril, les conduits auditifs et le cuir chevelu. Il est recommandé que l’examen soit réalisé le plus rapidement possible.
‒ Cet examen doit être attentif, car le stade du vecteur le plus souvent en cause pour la transmission à l’être humain est la nymphe qui ne mesure que 1 à 3 mm (images 1 et 2).
‒ Il est recommandé de refaire cet examen le lendemain car la tique, gorgée de sang, sera plus visible.

‒ Un retrait incomplet de la tique peut conduire à la formation d’une papule persistante (granulome à corps étranger) sans conséquence ultérieure sur le risque d’apparition de symptômes ou de maladie.
‒ La sérologie de Lyme après une piqûre de tique n’est pas recommandée, quelle que soit la population concernée.
‒ L’antibioprophylaxie post-piqûre de tique n’est pas recommandée, quelle que soit la population concernée.